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Lettres ouvertes à ARTE

A toutes les personnes que cela peut concerner et en premier lieu à Monsieur Jérôme CLEMENT — 13 octobre 2004

Émission Route 181 Fragments d'un voyage en Palestine-Israël 4 décembre 2003

 

ENCOURAGEMENTS A ISRAËL,

CENTRE ETERNEL DE L'ATTENTION DU MONDE

Barlin, le 13 octobre 2004

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Lettre ouverte à toutes les personnes que cela peut concerner 

et en premier lieu à : Monsieur Jérôme CLEMENT

ARTE France 8, Rue Marceau

F-92785 Issy-les-Moulineaux Cedex 9

Lettre parue dans GUYSEN

 

Monsieur,

 

A 85 ans, on ne se précipite pas sur un stylo ou un clavier après une forte émotion. En juin 1940, ayant vu mourir à mes côtés deux vrais camarades arabes tunisiens je peux vous dire que le sang versé, qu’il soit arabe, chrétien ou juif ou autre, me bouleverse toujours, ignorant depuis toujours ce qu’est le racisme.

J’ai lu votre avant-propos et ce qui avait trait à Elias Khoury et Youri Nasrallah, puis suivi avec beaucoup d’attention les émissions « La Porte du soleil », car je suis allé 11 fois en Israël dont je crois connaître bien l’histoire biblique et, plus près de nous, celle qui s’étend du début de l’ère chrétienne jusqu’à nos jours, plus particulièrement depuis 1878.

Je n’ignore aucun des drames dans cette région, y compris ceux provoqués par les « bavures » inévitables, malheureusement, dans tous les conflits armés ; comme mes amis juifs, israéliens ou arabes je les déplore.

Cependant, en dépit d’une réflexion d’importance capitale d’un des personnages, sur laquelle je reviendrai, je dois résumer mon impression sur l’ensemble par les mots : Qu’en termes élégants ces choses là sont dites (ou montrées). Les paysages sont ce qu’ils sont réellement c’est-à-dire beaux, ainsi que certains visages. Je réserve mon opinion sur la nécessité des scènes trop « osées » sans nécessité.

Mais en termes plus prosaïques, je pense que, au hit parade de la désinformation sur le sujet et de ses conséquences graves, vous vous rapprochez du peloton de tête composé de l’AFP ; du Monde, du Nouvel Obs, d’Antenne 2 etc. Vous mettez allègrement de côté la déontologie du journaliste consistant à vérifier et à étayer ses déclarations avec des preuves. Les personnes peu au courant de l’Histoire, ballottées au fil des séquences du film, n’auront retenu que la violence des propos ayant le relent des discours proférés par le président de l’A.P. devant des enfants de 6 à 15 ans dans les écoles et  les encourageant au djihad et au martyre ? J’ai des cassettes vidéo sur ce point, datant de 1994-1995.

           [A ce sujet, si vous voulez réellement connaître la véritable personnalité de cet homme, je vous recommande l’ouvrage « Le dossier ARAFAT », qui vient de paraître chez Albin Michel ; c’est une compilation fournie de preuves irréfutables de sa responsabilité dans le drame actuel. Ses auteurs sont Karin Calvo-Goller et Michel A. Calvo. Tous deux sont docteurs en droit international et avocats].

Certaines scènes, et surtout celles où l'on ne voit les personnages que de dos, y compris la séquence sur l’exécution d’un père de famille, laissent la porte ouverte et même l’ouvrent à la fausse compréhension qu’il s’agit de l’obéissance à une politique délibérée de massacre de la part des Israéliens. Ceci est très grave dans le climat actuel de violence et d’antisémitisme.

Réflexion importante, martelée à plusieurs reprises par l’un des personnages féminins : Nous ne sommes pas des Arabes, nous sommes des Palestiniens, des Palestiniens ! Bravo ! c’est ce que nous démontrons depuis des décennies, comme nous le verrons. Auparavant, je vous pose la question à transmettre à qui vous voulez :

Pourquoi alors ces Palestiniens ont-ils choisi et conservent-ils, comme Président, un agitateur arabe égyptien ?

Le film démarre sur une allusion timide à la Déclaration Balfour ; c’est commode, mais auteur et réalisateur escamotent ainsi, en jouant avec une intrigue sentimentale, les événements importants dont les principaux sont, sans donner de vrais détails :

1878 : Le Congrès de Berlin autorisant les Juifs, avec un assouplissement des contraintes du gouvernement ottoman, à pouvoir mettre à nouveau pied sur leur terre ancestrale. Les Arabes n’avaient plus la domination de ce pays depuis 1099. 20 Nations européennes regroupant 10 groupes de langues étaient présentes à ce Congrès. Ceci était prévu et annoncé dans la Bible en Zacharie 8 : 23.

1919 : Conférence de la Paix à Paris : l’accord entre Fayçal d’Arabie et les représentants de l’Organisation sioniste de l’époque sur les territoires semblables en majeure partie à ceux de l’Israël des 12 tribus est torpillé par la France, l’Angleterre et les États Unis.

1921-1922 : Le Foyer national Juif : Torpillé également par la France et l’Angleterre qui servent leurs intérêts respectifs. Sur les 110 à 115 000km², il n’en reste que 20.000 aux Juifs.

1948 : 70 ans après le Congrès de Berlin : Israël est enfin reconnu comme Nation par L’O.N.U., mais pas par les prétendus Palestiniens qui, venus des pays arabes entourant Israël, prétendent constituer une nation, donc à partir de 1948 seulement. A travers l’interprète, les auteurs du film rejettent ainsi les racines ancestrales arabes remontant à la même période que celles du peuple juif. Les Arabes possèdent bien tout ce qui avait été promis à leurs pères : voyez Ligue Arabe près de 13 millions de km². Israël en possède 21.000 auxquels il faudrait ajouter ce que j’appelle, moi, des réinstallations, et non des colonies.

1948, 1956, 1967, 1973, 1982 : 5 guerres provoquées directement ou indirectement par les voisins d’Israël qui n’en a jamais entrepris une pour s’emparer de territoires et en a plutôt rendus alors qu’il aurait pu les conserver. Tout cela aboutit parfois à des accès de folie, inexcusable, comme cela vient d’avoir lieu avec la mort d’une enfant arabe. Que dire au sujet des corps déchiquetés des deux réservistes égarés et du même sort réservé aux deux enfants de Tékoa. Toujours sous l’instigation du même homme ; deux Intifadas avec, confondus, leurs milliers de morts et des dizaines de milliers de blessés à vie, physiquement ou moralement. Prenons garde à nos responsabilités indirectes. Prenons-en conscience.

Monsieur allez-vous consacrer une semaine à rappeler tous les actes terroristes des dirigeants arabes faisant le malheur de leurs propres peuples aveuglés ? Allez-vous mettre votre équipe à la recherche des marchands d’armes, de leurs gouvernements et de ceux qui en profitent ?

Allez-vous montrer tous les progrès scientifiques et médicaux incessants d’Israël, souvent même utilisés au profit des populations arabes, comme au service d’ophtalmologie de l’hôpital Ben Gurion de Beersheba, ou à l’hôpital Hadassah. Alors Bravo !

Ou allez-vous maintenir votre programme et passer une seconde fois le film La Porte du Soleil ? Dans l’affirmative, peut-être devriez-vous ajouter [l’hymne à la haine d’Israël]. Alors, je vous plains car Israël lutte pour sa survie ; revoyez tous les discours d’Arafat aux dits palestiniens qu’il trompe et gruge.

Sophonie 3 : 8 répond à ceux qui déclarent qu’Israël n’est qu’une parenthèse « Je rassemblerai les Nations pour déverser… sur eux l’ardeur de ma colère ». L’U.E, avec ses 25 nations et 10 groupes de langues nous montre que ceci est commencé.  Et Esaïe 19 : 23-25 donne un merveilleux écho concernant ces peuples qui se déchirent encore « En ce jour-là, il y aura un chemin battu de L’Égypte à l’Assyrie ; et l’Assyrie viendra en Égypte…En ce jour-là, Israël sera le troisième, avec l’Égypte et avec l’Assyrie , une bénédiction au milieu de la terre ; car l’Éternel des armées le bénira, disant : Béni soit l’Égypte mon peuple et l’Assyrie ; l’ouvrage de mes mains, et Israël, mon héritage ».

C’est en tant que chrétien libre et, au nom de Jésus, Juif, qui a vécu Juif, qui est mort Juif, [le Jésus non défiguré par les credo divers], de celui qui a résumé la Torah avec deux passages du Tanach [A.T.] « Tu aimeras l’Éternel ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force » et… « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » que je vous demande, monsieur, de bien vouloir considérer ce message.

 

                                                                              Gilbert Hermetz

 

 

 

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Barlin, le 4 Décembre 2003

Lettre ouverte à ARTE G.E.I.E.

Via c-chevalier@artefrance.fr Objet : 

« Émission Route 181 Fragments d'un voyage en Palestine-Israël ».

Lettre parue dans primo-europe

 

Monsieur,

 

Après un courrier à Monsieur Bessières, c'est à vous que je m'adresse. Décision retardée, prise finalement après un incident supplémentaire à France3 avec Dieudonné, suivie de la parodie grotesque de la Conférence d'Oslo 3, pardon de Genève toujours dans le dos du gouvernement légitime. Décidément, les chaînes publiques deviennent des ferments d'antisémitisme. Seraient-elles également, comme l'A.F.P. entièrement sous la coupe de l'État ? 

L'émission « Route 181 ... » aurait dû être rebaptisée : Route 181 frontières imaginaires, morceaux choisis d'antisionisme délirant après un voyage en ÉRÉTZ ISRAËL.

Ayant suivi cette émission du 24 novembre jusqu'à 0 heure 45, c'était largement suffisant et écoeurant pour justifier l'envoi de ce courrier après avoir constaté que mes craintes exprimées dans le précédent n'étaient pas vaines. Je n'emploierai aucun des qualificatifs mérités par les auteurs du film, si ce n'est pour dire qu'il faut un certain toupet à monsieur É. Silvan pour se présenter comme Israélien.. Quant à M. Kleifi, il est dans son rôle. 

Certes, les Israéliens ne sont pas parfaits, ce sont des hommes comme tous les autres, avec leurs grandeurs et leurs faiblesses ; oui, comme dans toute guerre, il y a des bavures, mais ce reportage de 100 heures réduit à quatre heures 30 est une escroquerie morale, d'une subtilité malhonnête, et le reflet d'une ignorance volontaire de la réalité. 

Il a pu tromper une majorité de vos spectateurs, but recherché, mais pas des gens qui, comme moi-même, étudient la situation dans cette partie du monde depuis 125 ans de façon objective, et à qui on ne fait pas prendre des vessies pour des lanternes, surtout sur un sujet aussi grave. En ceci, la plupart de nos hommes d'État, même au niveau le plus élevé, portent une responsabilité terrible. L'Histoire le prouvera. 

N'importe quelle personne honnête pourra constater, dans une Encyclopédie relativement récente ou dans un Dictionnaire des noms propres, etc., qu'il n'y a jamais eu de peuple palestinien avant sa création artificielle en 1948, par ce que De Gaulle appelait Le Machin. Ce prétendu peuple est composé d'Arabes venus de tous les pays entourant Israël. Je reviendrai sur ce point. Mais, surtout, le vécu de la période tragique des années 30 à 45 spécialement nous fait mieux comprendre qu'Israël lutte pour sa survie à l'heure actuelle. 

Messieurs les responsables d'ARTE ou de toute autre média, T.V, radio, journal, etc, j'ai vécu cette période ! J'oubliais de vous dire que j'ai 84 ans, et je n'ai pas l'impression d'être sénile. Je suis allé aussi à Majdanek, un équivalent d'Auschwitz ; j'ai vu et j'ai compris. En outre, sans parler de ma connaissance de la Bible, livre d'Histoire par excellence ; je suis allé 11 fois en Israël, en tant que chrétien totalement indépendant ; non pour visiter les édifices-business à rapport ou à reliques, mais pour être en contact avec le peuple israélien, dans ses racines, son travail de renaissance, son esprit démocratique ; ses réalisations. 

J'ai plus de 1000 diapos et, à partir de ceci, je peux vous dire que vous avez présenté une émission de falsificateurs. Il n'est guère difficile de faire dire aux gens ce que l'on désire leur entendre dire, surtout s'ils ne sont pas sur leurs gardes ou que l'on choisit des interlocuteurs pas toujours très éveillés, ni représentatifs comme ce fut le cas à plusieurs reprises dans ce reportage.

Je n'aborderai que quelques points, tous pouvant être prouvés par des diapos le plus souvent prises à l’improviste.

Du kibboutz Hanita, à la frontière libanaise, en passant par Kyriat Shmonah jusqu'à Har Hatzeva au sud de la Mer Morte ; des sources du Jourdain et du Mont Hermon jusqu'à Yamit, une perle au bord du désert au Sud de Gaza, en 1976 au début de sa construction et en 1981 peu avant sa destruction stupide ; depuis le haut de la Mer de Galilée jusqu'en bas de la Mer Morte, avec toutes les serres et l'arrosage goutte-à-goutte d'une terre rapportée par millions de tonnes à partir des monts tout proches jusqu'au bord d'une Mer salée ; de Kuneitra sur le Golan jusqu'en haut du Carmel, au Promontoire David Uzan, magnifique lieu de souvenir et de promenade conçu par mon ami Daniel Uzan à la mémoire de son fils tué en 1973 près du canal de Suez ; de Tel-Aviv jusqu'au moshav Yafit créé en 1981 au bord de la Mer Morte, en pleine expansion agricole et où se sont retrouvées des personnes de tous horizons sociaux comme Paul Doukhan, ancien journaliste ; partout, j'ai rencontré des gens qui retroussaient leurs manches ! Tous ces hommes font refleurir le désert, ce que les Arabes n'ont jamais fait avant que certains d'entre eux comprennent tout ce que pouvaient leur apporter leurs amis israéliens. J'ai moi-même travaillé un jour, au kibboutz Narshonim, à la récolte du coton et à sa préparation pour le transport à son lieu de traitement, Kyriat-Gat. 

Je pourrais parler longuement sur la coopération, entre des Israéliens et Arabes chrétiens ou musulmans, de quoi j'ai été le témoin en maints endroits, parfois avec des amis de France m'accompagnant. À Gaza, en 1981, en visite à la zone industrielle, des Israéliens travaillaient sous les ordres d'un ingénieur arabe. Mais j'ai vu là aussi comment après 19 ans de vraie occupation égyptienne maintenant jusqu'à 10 personnes dans des taudis infects de 40 mètres carrés, les Israéliens bâtissaient des immeubles modernes pour loger décemment et quasi gratuitement cette population ; immeubles qu'ils sont parfois obligés à présent de détruire parce qu'ils sont devenus des nids de terroristes. Pendant l'occupation égyptienne, il était interdit aux habitants de quitter le territoire. Je mets Silvan et son alter ego au défi de me prouver le contraire. 

Voilà une minime partie de ce que j'ai à opposer aux deux entrepreneurs spécialistes en démolition dont vous avez complaisamment montré le reportage ; ces deux complices n'ont recherché que des aspects négatifs dus en partie aux raisons émises plus haut, mais aussi à une sensibilité exacerbée par cette atmosphère d'angoisse dans laquelle ce peuple vit depuis des années ? J'ai des amis très chers en Israël, et je sais que pour eux et l'ensemble du peuple, dont une grande partie vit maintenant en dessous du seuil de pauvreté : Non, le bon Arabe n'est pas un Arabe mort mais un être vivant ! Pourquoi ces deux fumeux reporters ne nous ont-ils pas montré ou parlé de ce qui est fait à l'Hôpital Hadassah en faveur des Arabes, tout comme à Beersheva, à l'hôpital Ben Gourion, le service ophtalmologique en particulier qui reçoit et soigne de  nombreux Bédouins. Pourquoi ne nous ont-ils pas montré d'autres tranches de la société israélienne ? Pourquoi le terrorisme a-t-il été quasi totalement escamoté ? 

Ah ! oui, ils étaient peut-être trop occupés à écouter ce coiffeur qui a saisi, non seulement le client, mais aussi l'occasion, par les cheveux pour se faire une réputation en se souvenant, paraît-il, de scènes atroces sur lesquelles je ne m'attarderai pas. On peut supposer qu'une inspiration soudaine a saisi ces Sherlock Holmes et Dr. Watson modernes pour leur révéler ces atrocités des décennies plus tard, dans un pays où ce genre de choses est vite découvert, et dans des circonstances et avec des personnages assez particuliers. Ceci aurait-il échappé à Amnesty International si prompte à agrafer injustement Israël. Dommage que le sujet soit si lourd de conséquences dans les circonstances actuelles. On pourrait en faire un sketch, Dieudonné acteur. 

Dès le début et presque tout au long de leur reportage, ils ont cherché à comparer l'armée israélienne à l'armée nazie, ignorant volontairement que les citoyens qui la composent préféreraient de beaucoup être dans leur foyer car ils aiment la vie autant que les terroristes aiment la mort. On ne leur promet pas un paradis sexuel peuplé de vierges blanches. À propos, ces messieurs peuvent-ils nous dire quelle récompense est maintenant promise aux femmes kamikazes ! 

Mais ils ont omis la cause principale de la situation actuelle et là aussi, je peux leur fournir un « fragment » supplémentaire pour meubler un peu mieux leur reportage à savoir deux copies de vidéo cassettes datant de l994-95 : Dans celles-ci, on voit le président de l'A.P. monsieur Arafat dans ses œuvres ; il harangue dans les écoles des enfants de 7 à 13-14 ans, les incitant au Jihad ; au martyre, au sacrifice de leur vie pour chasser les Juifs non seulement de Jérusalem, mais de tout Israël. Certains de ces enfants sont sûrement déjà devenus des terroristes. Comment ne plaindrions-nous pas aussi ce peuple arabe aveuglé par ses dirigeants ? Nous devons distinguer entre le fanatisme islamique et le peuple arabe lui-même. 

Ce qui se passe en Israël va toucher toutes les nations, de même que, quand les nazis eurent liquidé les Juifs, ils s'attaquèrent à toutes les autres classes de la société. La situation mondiale actuelle en est un avant-coureur. Et il faut un bouc émissaire. Qui ? Israël. 

Pour résumer et conclure :

Ces messieurs ont oublié que Israël n'est pas le squatter, mais fut le squatté durant près de 19 siècles, qu'il est rentré chez lui et y restera, malgré toutes les épreuves qui l'attendent encore.

Tout Eretz Israël des temps anciens lui appartient ! Mais cela est un autre sujet.

Le Juif doit demeurer Juif pour accomplir sa mission future Esaïe 2 : 3-5.

Jérusalem appartient au peuple juif seul. Selon le Prophète Jérémie chap. 31 : 39-40, « ...elle ne sera jamais plus arrachée ni renversée, à jamais ». Il y a bien d'autres arguments, surtout bibliques, mais ce n'est pas le terrain des auteurs du film incriminé, à qui vous pouvez présenter ce courrier.

Recevez, monsieur, mes salutations distinguées.

                                                                              Gilbert Hermetz

 

 

 

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